Deux ans de solitude

Rouge d’émotion
de vieux rêves capturés,
nous pouvons prendre le temps.


Le vocabulaire de l'exil employé par Marquez dans Cent ans de solitude semble aussi familier qu'inconnu pour Mark Daovannary. Il résonne avec les souvenirs de ses ancêtres, comme les indices d'une histoire insaisissable, que lui n'a pas vécue. Dans Deux ans de solitude, l'artiste propose une allégorie du temps qui s'arrête. Reliées entre elles par un fil, les deux horloges incarnent la perte de repères. Elles ne sont plus des outils de mesure, mais les interlocutrices d'un dialogue entre le passé et le présent.

(H x L x l) : 41 cm x 33 cm x 50 cm
Horloges mécaniques, bois, mousse acoustique, 5 exemplaires
2016

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© Mark Daovannary 2023