Galerie Basia Embiricos
(Paris, le Marais, 2023)

 

L'aiguille d'or
(Paris, le Marais, 2023)

Curator : Anthony Ong

 

Artschild
(Paris, Faubourg Saint-Honoré, 2021)

 
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Maison Contemporain x Espace Bertrand Grimont
(Paris, le Marais, 2020)

 
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Galerie Edouard Escougnou
Claustrum (Paris, le Marais, 2020)

L’exposition vise à questionner notre ressenti de cette période clivante du confinement et interroge nos rapports internes avec l’extérieur et les autres.

 
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Prix Icart
(Espace Christiane Peugeot, 2020)

Curateur : Artistik Rezo

 
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Talents Émergents de la Région Ile-de-France
(Chapelle des Beaux-Arts de Paris, 2019)

Curateur : le programme FoRTE


“Mark Daovannary interroge la substance du vivant à travers ses définitions et ses propriétés. Il explore l’origine, l’énergie et la conscience des matériaux façonnés par la nature ou par l’homme.

Ainsi, une montagne endormie et un objet inerte ont une histoire à raconter. Entre alchimie, science et anthropologie, Mark Daovannary leur donne corps, vie, mouvement, les transforme et les personnifie. Il fait appel à l'animisme propre à l'enfance.

Il emploie des formes simples et des symboles universels, un cube, une montre, un tronc d'arbre, pour créer des sculptures et des installations épurées et oniriques. Ce langage commun se concentre sur l'essentiel et permet à chacun de projeter son imaginaire.

Car il est surtout question de point de vue. Mark Daovannary nous confronte à nos repères, innés et acquis. Porté par des influences asiatiques, il accompagne ses œuvres de haïkus. Ces courts poèmes énigmatiques orientent, désorientent, sans jamais rien imposer. Et si la substance du vivant résidait dans la subjectivité ?”


Ariane Picoche, à l’occasion de l’exposition collective des Talents Émergents Ile-de-France (2019) – Journaliste


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Lou Carter Gallery
Silencing dinner of (Paris, 2019)

À travers une reconstitution de salle à manger imaginée par Lou Carter, l’intégralité de la scénographie d’exposition nous invite à ressentir la présence de dix hôtes autour d’un repas familial, mais dont l’essence physique n’est plus.

La corrélation entre les huit plasticiens invités à dialoguer autour du thème de l’installation nous replonge dans les relations intimes de ces personnages, comme dans celles entre l’espace et son usage.

 
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Rue de Tanger
Alter (Casablanca, 2019)

Réconciliation patrimoniale de Casablanca

Curateur : Amine Slimani

 
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Galerie Mansart
Une séparation, le remords et le crime (Paris, le Marais, 2018)

En partant de ces deux vers, Une séparation Le remords et le crime, tirés du poème Tard dans la nuit de Pierre Reverdy, écrit en 1918, ils commémorent le centenaire d’une rupture souvent irréversible et nous interrogent sur le mouvement d’un rapprochement avec l’autre qui en même temps qu’il nous rend plus forts nous fragilise.

Curateurs : Jérôme Nivet-Carzon et Azad Asifovich


“L’angoisse de ne pas connaître le passé, l’origine de (ses) parents et également cette rupture avec le passé afin de les rendre ou nous rendre plus forts. Une complexité bloquée entre 2 temps.“

Jérôme Nivet-Carzon et Azad Asifovich, galerie Mansart (2018), curateurs


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62ème Salon de Montrouge
Élevage de poussière (Montrouge, 2017)

En 1920, Marcel Duchamp a laissé la poussière s’accumuler sur son Grand Verre. Man Ray en réalise une vue plongeante, Élevage de poussière, nommée dans un premier temps Vue prise en aéroplane. Depuis, des façons différentes de sentir, de regarder, de faire parler les éléments ont vu le jour. Ils questionnent la réalité des choses et des matériaux dans leur diversité. La matière qui les inspire est un état de l’énergie qui les anime. Ils envisagent de subtiles interactions avec les « objets », au risque de les garder invisibles ou à l’état « virtuel ».

Curateurs : Ami Barak et Marie Gautier


“Issu d’une famille multiculturelle, éduqué dans différentes formes de société, différentes religions, entre Occident et Asie, Mark Daovannary se sert de son expérience pour interroger la façon dont l’individu se positionne, historiquement ou sociologiquement, par rapport aux autres : communautés, ancêtres, étrangers, amis. Par le biais de métaphores littéraires et formelles, d’une pratique des haïkus, de la sculpture et des mises en scène du corps en tant que terrain d’investigation spatiale et temporelle, l’artiste tente de redéfinir ses origines, son histoire et son identité.”

Anne-Sarah Benichou, salon de Montrouge (2017) – Galeriste


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Festival international d’architecture de la Villa Noailles
Design Parade, (Hyères, 2017)

On entre dans ce salon comme on entrait dans un tableau; immersion physique dans un univers pictural. Les motifs se déploient dans l’espace, à l’image de tableaux qui se réponderaint d’un mur à l’autre. En quête d’une frugalité de l’instant, notre installation se veut légère, joyeuse et vivante.
Un projet de Samuel Bégis, Caroline Charrel, Mark Daovannary, Alice Louradour

Curateur : Villa Noailles

 
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ENSAD

(Paris, 2016)

 
 

© Mark Daovannary 2022